samedi 5 septembre 2009
À Billie,
C’est dur de perdre sa mère, que le temps qui passe te renforcisse grâce à l’héritage affectif que Paule t’as légué. Louise
À Paule,
Il y a plus de 6 années, Paule, tu arrivais dans la vie de mon frère Jacques. Et, pour ainsi dire, tu arrivais dans ma vie.
Notre première rencontre prit place aux funérailles de mon père Marcel en décembre 2004.
Je t’ai vu alors comme une jolie blonde, très sympathique et qui me paraissait plutôt discrète.
Au fil des ans qui suivirent nos liens se sont multipliés au cours de rencontres plus ou moins annuelles.
Le dernier Noël chez Jacques en 2008 avec ta potiche blonde et ton look de star.
La magnifique table et tous les cadeaux pour tout le monde. Qui aurait dit ??????
Je me revois dans le salon chez Jacques nous faire nos adieux mouillés le 11 mai dernier.
Finalement,……. je rentrais en Europe. Nous savions que nous ne nous reverrions plus.
Aujourd’hui 3 mois ont passé depuis ton départ express, je pense à toi très souvent avec triste incrédulité. Ai-je rêvé ?
Est-ce possible que tu sois partie si vite?
En laissant ma mémoire mettre quelques mots sur l’expérience d’avoir partagé quelques petits bouts de chemins certes, mais sans aucun doute d’un impact important dans ma vie, il me semble te revoir ainsi :
Singulière dans tes habits, généreuse dans ton écoute, vive dans tes perceptions, respectueuse de l’humanité de chacun, rieuse et contagieuse dans tes échanges verbaux, parfois même crue dans tes propos quand t’avais passé ta limite.
Un immense talent d’artiste, une créativité inouïe, une intensité à l’aiguille et au pinceau. Imprévisible et attachante.
Rock and roll dur et mélodie d’amour. Belle de nuit, ronfleuse de jour.
Malgré le froid de l’ombre, la chaleur s’imposa à nouveau.
C’est une fin pas finie, ça continue, tu es toujours là.
Louise 22/08/2009
C’est dur de perdre sa mère, que le temps qui passe te renforcisse grâce à l’héritage affectif que Paule t’as légué. Louise
À Paule,
Il y a plus de 6 années, Paule, tu arrivais dans la vie de mon frère Jacques. Et, pour ainsi dire, tu arrivais dans ma vie.
Notre première rencontre prit place aux funérailles de mon père Marcel en décembre 2004.
Je t’ai vu alors comme une jolie blonde, très sympathique et qui me paraissait plutôt discrète.
Au fil des ans qui suivirent nos liens se sont multipliés au cours de rencontres plus ou moins annuelles.
Le dernier Noël chez Jacques en 2008 avec ta potiche blonde et ton look de star.
La magnifique table et tous les cadeaux pour tout le monde. Qui aurait dit ??????
Je me revois dans le salon chez Jacques nous faire nos adieux mouillés le 11 mai dernier.
Finalement,……. je rentrais en Europe. Nous savions que nous ne nous reverrions plus.
Aujourd’hui 3 mois ont passé depuis ton départ express, je pense à toi très souvent avec triste incrédulité. Ai-je rêvé ?
Est-ce possible que tu sois partie si vite?
En laissant ma mémoire mettre quelques mots sur l’expérience d’avoir partagé quelques petits bouts de chemins certes, mais sans aucun doute d’un impact important dans ma vie, il me semble te revoir ainsi :
Singulière dans tes habits, généreuse dans ton écoute, vive dans tes perceptions, respectueuse de l’humanité de chacun, rieuse et contagieuse dans tes échanges verbaux, parfois même crue dans tes propos quand t’avais passé ta limite.
Un immense talent d’artiste, une créativité inouïe, une intensité à l’aiguille et au pinceau. Imprévisible et attachante.
Rock and roll dur et mélodie d’amour. Belle de nuit, ronfleuse de jour.
Malgré le froid de l’ombre, la chaleur s’imposa à nouveau.
C’est une fin pas finie, ça continue, tu es toujours là.
Louise 22/08/2009