lundi 6 juillet 2009
25 juin
J’écris en pensant à toi.
Habité par toi.
Je pleure encore mon amour. Discrètement.
Des sanglots en silence.
À l’évocation, aux milles pensées qui montent de mes entrailles.
Des réminiscences qui tourbillonnent autour de toi.
Je n’ai que ça à faire.
Je reste assis sur mon coussin et j’essaie d’observer.
La respiration.
Les sensations.
Tu connais la chanson.
Et tu apparais.
Dans les rues de Playa, main dans la main.
Au bureau lors de nos questionnements de fin de journée :
« qu’est ce qu’on peut bien manger pour souper »
Dans ton lit de l’urgence de l’hôpital.
N’importe où.
J’ai des millions de millions de connections synaptiques dont tu es le cœur.
Je pense à ce jour d’avril quand tu as téléphoné au bureau pour nous dire que tu nous aimais.
Entre deux rendez-vous en oncologie.
Nous étions tous rassemblés mon amour autour du téléphone, le volume à fond pour t’entendre.
T’entendre.
Je t’ai réentendu dans la salle de méditation hier.
J’y étais de nouveau dans ce bureau.
Ta voix.
Ton émotion.
Ta véritable affection pour nous tous.
Je n’ai pu retenir mes larmes.
Ces sanglots qui me font du bien.
En pensant à ce moment où tu as réussis à nous faire rire en disant que tu pleurais peut-être, mais que tu n’avais pas de peine.
Que de la joie.
D’être aimée.
Et d’aimer.
Et je pleure encore.
Habité par toi.
Je pleure encore mon amour. Discrètement.
Des sanglots en silence.
À l’évocation, aux milles pensées qui montent de mes entrailles.
Des réminiscences qui tourbillonnent autour de toi.
Je n’ai que ça à faire.
Je reste assis sur mon coussin et j’essaie d’observer.
La respiration.
Les sensations.
Tu connais la chanson.
Et tu apparais.
Dans les rues de Playa, main dans la main.
Au bureau lors de nos questionnements de fin de journée :
« qu’est ce qu’on peut bien manger pour souper »
Dans ton lit de l’urgence de l’hôpital.
N’importe où.
J’ai des millions de millions de connections synaptiques dont tu es le cœur.
Je pense à ce jour d’avril quand tu as téléphoné au bureau pour nous dire que tu nous aimais.
Entre deux rendez-vous en oncologie.
Nous étions tous rassemblés mon amour autour du téléphone, le volume à fond pour t’entendre.
T’entendre.
Je t’ai réentendu dans la salle de méditation hier.
J’y étais de nouveau dans ce bureau.
Ta voix.
Ton émotion.
Ta véritable affection pour nous tous.
Je n’ai pu retenir mes larmes.
Ces sanglots qui me font du bien.
En pensant à ce moment où tu as réussis à nous faire rire en disant que tu pleurais peut-être, mais que tu n’avais pas de peine.
Que de la joie.
D’être aimée.
Et d’aimer.
Et je pleure encore.