dimanche 16 août 2009
14 août
20 jours de silence.
20 jours dans la pénombre de ma petite cellule.
Les yeux clos.
20 jours sans parler.
Sans regarder plus loin qu’un ou deux pas devant moi.
Nous sommes 100 méditants.
Je ne vois que des pieds qui se déplacent comme moi pour aller marcher, rendre un repas, aller se doucher.
!2 heures chaque jour dans notre petite cellule.
La pagode vibre de nos consciences qui se purifient.
De temps en temps, ce monumental silence se remplie de toi mon aimée.
Une image de toi.
Un souvenir de toi.
Tu es radieuse.
Tout se clarifie.
Tout se nettoie.
Et je sais plus que jamais pourquoi je t’aime.
20 jours dans la pénombre de ma petite cellule.
Les yeux clos.
20 jours sans parler.
Sans regarder plus loin qu’un ou deux pas devant moi.
Nous sommes 100 méditants.
Je ne vois que des pieds qui se déplacent comme moi pour aller marcher, rendre un repas, aller se doucher.
!2 heures chaque jour dans notre petite cellule.
La pagode vibre de nos consciences qui se purifient.
De temps en temps, ce monumental silence se remplie de toi mon aimée.
Une image de toi.
Un souvenir de toi.
Tu es radieuse.
Tout se clarifie.
Tout se nettoie.
Et je sais plus que jamais pourquoi je t’aime.